Du 37 au 53, place Jules-Grandclément
N°37
- 1884 : ouverture du bureau des Postes & Télégraphes (premier bureau télégraphique villeurbannais), qui est transféré en 1934 à la place de l’ancienne mairie.
- 1936 : un relieur et sa famille s’installent à la place du bureau de poste.
- Années 2000 : le lieu devient un restaurant asiatique.
N°39
- 1920-1930 : la régie Berthier s’établit dans l’immeuble, jusque dans les années 1970
- Aujourd’hui : un service d’aide à domicile et une boutique de soins esthétiques se partagent le rez-de-chaussée.
N°41-43
- 1900 : deux cafetiers et un marchand de vin occupent les lieux. Un grand jeu de boules se trouve à l’arrière.
- 1964 : le bâtiment est détruit et laisse place à un nouvel immeuble (première construction récente qui rompt l’unité architecturale de la place).
- 1960 à nos jours : un opticien occupe le local commercial.
N°41 à 49
Les maisonnettes visibles sur la carte postale ont aujourd’hui disparu. Le style architectural de la place et l’esprit « Maisons Neuves » disparaissent pour laisser place à des immeubles.
- 1964-1966 : construction de l’immeuble aux n°41-43.
- Début des années 2000 : construction de l'immeuble aux n°45-47-49.
N°42
- 1878 : un cafetier occupe les lieux (comme en face, au numéro 43). Nombreux sur la place, les cafés sont facilement identifiables grâce aux barriques plantées d’arbustes qui bordent le trottoir.
N°44
- Début du XXe siècle : un coiffeur, un chapelier et un grainetier exercent leur activité.
- 1915 : une régie immobilière a été créée par Louis Bocquet. Elle existera pendant de nombreuses années, avec des associés successifs (Bocquet & Des Garets vers 1950 puis Bocquet, Des Garets & Chastel dans les années 1960 à 1970).
- 1980 – 2008 : l’agence BGC Immobilier s’y installe. Si le grainetier, devenu fleuriste, a définitivement dispa-ru en 2008, l’activité immobilière demeure.
N°51-53
- Deuxième moitié du XIXe siècle : une boulangerie (Moine) partage le rez-de-chaussée avec un café (Christaud). Propriété de M. Vermorel, les deux immeubles sont transformés et rehaussés en 1928 par Auguste Hamm, architecte à qui l’on doit des bâtiments municipaux et une grande partie des immeubles de la rue de La Poste.
- Aujourd'hui : deux des quatre commerces exercent toujours la même activité qu'en 1900 : une boulangerie et un café !