Conclusion
(mise à jour : avril 2021)
De nombreux point d’amélioration nécessaires ont été identifiés lors des années qui viennent de s’écouler. Ils ont été listés dans ce document. Le suivi de leur résolution au fil du temps est un point de vigilance à garder en tête.
Certains ont été résolus : amélioration de l’affichage sur des supports variés et de la lisibilité globale du site, enrichissement des ressources en ligne, continuité minimale du service public en ligne pendant la crise du Covid-19, premières expérimentations de l’intégration du multimédia sur le site, première étape vers une mise en cohérence de l’apparence du site avec celui du Rize.
D’autres sont en voie de résolution. La migration d’Arkothèque vers la V7 est, à cet égard, un enjeu fort, qui permettra d’en résoudre un bon nombre : mise en cohérence de l’indexation des contenus en ligne avec les index communs aux activités du Rize, mise en place d’un moteur de recherche transversal (à prévoir dans la commande), amélioration du back-office et de fonctionnalités concernant notamment les expositions virtuelles.
Cependant, cette amélioration technique ne suffira pas à résoudre certaines problématiques contractuelles (question de la propriété intellectuelle des productions culturelles récentes), organisationnelles (formalisation de la répartition des tâches de mise en ligne entre les différents pôles du Rize, suivi régulier du projet par une personne identifiée et légitime, décisions concernant l’hébergement de vidéos et contenus audios en ligne), liées à la communication globale du Rize (articulation entre les différents supports print et web du Rize, à travers une charte graphique notamment) ou à la formation des acteurs du projet (mise en place d’un tutoriel commun et facile d’usage, formation basique sur le traitement des images).
Enfin, une culture du partage d’information sur le web, compatible avec les enjeux de l’Open Data et de l’Open Science, reste à développer au Rize. Il s’agit de rendre les informations que l’on fabrique partageables : s’informer sur ce que les autres ont déjà fait pour ne pas réinventer l’eau chaude, mais se l’approprier pour de nouveaux usages ; avoir un peu de curiosité pour la technique, qui n’est pas un objet de consommation que l’on achète au supermarché, mais une partie intégrante de la culture d’une société. Cette culture du partage d’information est la condition sine qua non pour qu’une transition numérique minimale puisse advenir au sein du Rize.