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Consultation

Cimetières de Villeurbanne

Les premiers cimetières de Villeurbanne étaient situés à proximité de l'église Saint Julien de Cusset aujourd'hui Saint Athanase. En 1864, un nouveau cimetière est ouvert : l'actuel "Cimetière ancien" de Cusset. Celui-ci se révèle au lendemain de la première guerre mondiale d'une capacité d'accueil insuffisante. Un deuxième cimetière reçoit alors sa première inhumation en 1929,  le "Cimetière nouveau" de Cusset. Le cimetière ancien résume à lui seul l'histoire de Villeurbanne, de ses maires, de ses chefs d'entreprise, de ses artistes. Le Cimetière nouveau accueille des tombes de villeurbannais venus du monde entier. Il abrite un carré juif et un carré musulman.

 

Cimetière de Cusset, photo Ville de Villeurbanne (1996)
Entrée du nouveau cimetière en 1932 (cote 4Fi155)
maquette du monument aux morts de la guerre de 1914/1918, ancien cimetière de Cusset (1M130)

Auteur(s) : Chantal Jane Buisson , Historienne

«  Pas d'église sans cimetière ». Villeurbanne ne déroge pas à cette règle de l'ancien régime. Elle enterre ses morts dès 1731 autour de son unique église « Saint-Julien de Villeurbanne-lès-Lyon », l'actuelle Saint-Athanase et également à l'intérieur de celle-ci. Les registres de sépulture précisent parfois qu'on inhume « devant l'autel »,  « dans la chapelle de la Très Sainte Vierge », « dans la chapelle des Pénitents ».
En 1826, le besoin presse d'agrandir ce cimetière de six ares. On y ouvre des fosses utilisées depuis moins de deux ans allant jusqu'à extraire des cadavres presque entiers... Il est trop proche des habitations. Il est donc en tout point contraire au décret du 23 prairial an XII (12 Juin 1804) qui oblige dans son article 7 toutes les communes sans distinction de taille à abandonner les cimetières existants et à en ouvrir de « nouveaux hors de l'enceinte des habitations ». L'église Saint-Julien se révèle aussi trop petite pour une population qui augmente. Son éventuel agrandissement rendrait impossible tout projet d'extension du cimetière.

L’ancien cimetière de Cusset

Le conseil municipal de Villeurbanne choisit alors d'acheter pour 1500 francs un terrain de 36 ares à Pierre Brosse un cultivateur de 50 ans domicilié route de Genas. Il est situé au Mas Cyprian. Une ordonnance royale du 15 mars 1827 autorise cet achat. L'acte de vente est reçu le 27 mai 1827 par maître Guillard, notaire à Villeurbanne. Il précise que l'acquisition est faite par la commune afin d'établir un nouveau cimetière. Le choix de ce lieu était en accord avec le projet qu'avait le maire d'alors, François Monavon, de faire de la place du Plâtre ou place Dauphine (la place Jules-Grandclément d'aujourd'hui) le nouveau centre de Villeurbanne et d'y construire son église. Ce maire a des ambitions pour sa ville. La situation très excentrée du nouveau cimetière est en accord avec l'expansion démographique qu'il lui prédit. Le projet qui prévoit deux grandes allées bordées d'arbres » se coupant à angle droit, une croix indiquant que le « lieu est saint et respecté » s'élève au total à 5200 francs, incluant une indispensable clôture pour le protéger des animaux.
En fait, il n'y a jamais eu de cimetière au Mas Cyprian. Le nouveau maire Jean Gorgeret renonce au projet de son prédécesseur. Le vendeur Brosse est contraint de reprendre son terrain sans condition. Le conseil municipal de Villeurbanne privilégie le 22 février 1831 l'ouverture d'un nouveau cimetière sur un terrain voisin de l'église Saint-Julien de Cusset dont la commune est propriétaire depuis 1822 et qui est déjà ceint de murs. Il est certes voisin de celui qui existe déjà « entourant l'église au soir, midi et matin »  mais il n'en est pas son extension, comme en témoignent deux plans conservés aux Archives départementales du Rhône, localisant ces cimetières. Ce nouveau projet est moins onéreux car son coût total s'élève à 2000 francs incluant l'installation d'une porte en fer, la réfection des murs et le transfert de la croix de l'ancien cimetière dans le nouveau. Le premier cimetière de Villeurbanne ferme en 1832 et restera longtemps indemne de toute construction.
En 1860, ce cimetière ouvert en 1832 se révèle trop exigu pour une population qui a doublé en moins de trente ans. Les habitations qui l'entourent bloquent tout projet d'extension. Le conseil de fabrique de l'église des Charpennes s'adresse en 1859 à l'évêque de Grenoble afin d'obtenir un cimetière. Trop proche du Rhône, le projet est irréalisable. Le principe d'un cimetière par paroisse est abandonné.
Le maire Julien Roustan charge alors une commission de trouver « un terrain de deux à trois hectares à l'est de Cusset sur les Balmes », c'est-à-dire en zone non inondable. Le choix de la commission se porte sur un terrain que Michel Ollion, un négociant demeurant 6 rue Bourgelat à Lyon, avait acheté à Pierre Amblard en 1842. Situé au lieu-dit « Les Tasses », il est d'une superficie de 3,24 hectares et est entouré « au Nord par les balmes viennoises et au Sud par le chemin de Cusset à la route de Crémieux » (actuelle rue Léon Blum). L'acte de vente est reçu le 13 mars 1863 par maître Guillaume Lasalle, notaire à Villeurbanne. Le conseil municipal vote un emprunt de 600 000 francs à la Caisse des dépôts et consignations pour financer le coût de l'acquisition et de ses aménagements. Claude Berger, futur maire de Villeurbanne, sera l'architecte de ce nouveau cimetière.
Ce cimetière qu'on désigne aujourd'hui sous le nom d’« ancien cimetière de Cusset » est béni le dimanche 6 décembre 1863 et ouvre le 1er janvier 1864. Plus aucune inhumation ne se fait désormais à Cusset, qui se situe, en 1877, sur le tracé de la prolongation du cours Vitton. Les familles sont invitées à transférer les restes de leurs défunts dans le cimetière nouvellement ouvert. L'un des premiers citoyens villeurbannais à avoir obtempéré est Antoine Primat qui opère à ses frais la translation du corps de Claude Primat son père qui fut maire de Villeurbanne, de l'ancien au nouveau cimetière.

Les espaces confessionnels

La loi de prairial an XII reconnaît la pluralité des appartenances religieuses. Elle impose donc aux communes, dans son article 15, d'avoir un lieu d'inhumation par culte ou d'affecter une partie du cimetière à chacun, en le séparant des autres par une haie ou par un mur.

 Le plan dessiné par Claude Berger attribue donc à gauche de l'entrée un espace, un triangle aujourd'hui occupé par les allées 1, 3, 5, 7 à l'inhumation des non-catholiques qui sera occupé par les concessions temporaires des protestants. Si la communauté juive villeurbannaise se limitait à une famille de 10 personnes en 1880, la communauté protestante quant à elle compte déjà 30 membres en 1846, puis 85 en 1866 parmi lesquels on retrouve l'une des premières communautés étrangères venues s'installer à Villeurbanne : les Suisses au nombre de 39 en 1861 et de 205 en 1891.
 La loi du 14 novembre 1881 abroge l’article 15 de la loi de prairial. Elle pose le principe de la neutralité religieuse des cimetières et supprime donc les carrés confessionnels. Le conseil municipal de Villeurbanne décide en conséquence le 13 mars 1882 « l'enlèvement de la haie qui sépare dans le cimetière communal la partie réservée aux protestants ».

Monuments et tombes remarquables

Au « cimetière ancien de Cusset », le visiteur découvre aujourd'hui des tombes des personnages qui ont marqué l’histoire de Villeurbanne : les maires, parmi lesquels Charles Hernu, des créateurs artistiques : le poète Alexis Rousset qui reçut Alexandre Dumas et Marceline Desbordes-Valmore en son château de l'Arche, le sculpteur Jean Chorel qui avait son atelier dans le quartier du Tonkin, l'architecte Etienne Curny, auteur du crématorium du cimetière de la Guillotière à Lyon. Des chefs d'entreprise souvent « immigrés de l'intérieur » ont leur dernière demeure dans la ville où ils travaillèrent et habitèrent : Gustave Prat, Auguste Morel qui fut propriétaire de la Maison Berty-Albrecht, les frères Lamaignère. Un ambassadeur du Brésil, Raoul de Rio Branco, repose aux côtés de ceux qui donnèrent  leurs noms à des rues de Villeurbanne (le secrétaire de mairie Emile Décorps, le médecin Toussaint Frappaz) ou à des rues de Lyon : Camille Richard-Vitton, Eugène Deruelle.
Ce cimetière est aussi remarquable par la beauté de ses monuments. Le plus célèbre est celui de Clothilde Gallois, cette accoucheuse morte à 21 ans immortalisée par le sculpteur Paul Millefaut. Le monument Barral qui lui fait presque face est, quant à lui, signé par l'architecte Michel Roux-Spitz à qui on doit le Théâtre de la Croix-Rousse et la Grande Poste de Lyon. Etienne Curny dessina les plans du monument où il est inhumé. Les Villeurbannais peuvent reconnaître le bâtiment de l'École de Musique dans le bas-relief qui orne la tombe de l'abbé Liaud, fondateur de l'Oeuvre des petits garçons orphelins.
Mais la pièce maîtresse de ce cimetière ancien de Cusset, qui incontestablement le hisse au rang des lieux de mémoire les plus dignes d'intérêt, est le monument aux Villeurbannais morts pour la France. Il est l'œuvre du sculpteur Jean Chorel pour le splendide groupe sculpté en ronde-bosse et de l'architecte lyonnais Louis-Eugène Lambert qui concourut pour le Monument aux Morts de Lyon, pour le socle sur lequel il repose.
Une femme accablée, les yeux baissés tenant dans sa main droite une couronne mortuaire domine la composition de sa haute stature. Elle symbolise la douleur de la mère-patrie, de l'institution municipale en deuil de ses enfants. Elle est massive, en apparence, en position de vigie à l'entrée de la ville, mais fragile, quand on la regarde de profil, à l'image de cette République victorieuse, mais exsangue au sortir de la guerre. Aucune inscription pour ou contre la guerre n'y est portée conformément au contrat d'exécution. Seuls sont gravés, sur trois faces du socle, les noms par grade et par ordre alphabétique des 1728 villeurbannais morts pour la France. Quatre stèles sont ultérieurement rajoutées portant les noms des Villeurbannais tués au front lors de la seconde guerre mondiale, des combattants morts en Indochine et en Afrique du Nord.
Une délibération du conseil municipal avait déjà statué sur l'emplacement définitif de ce Monument aux morts en 1922, alors que Paul Bernard était maire : à l'extrémité de l'une des allées principales, l'allée 15 et à proximité des carrés militaires. D'autres emplacements furent envisagés : la place de la Mairie d’alors -actuelle place Jules-Grandclément-, et l'entrée du futur nouveau cimetière. Mais le Comité villeurbannais pour le Monument aux morts, qui avait recueilli l'adhésion de plusieurs industriels et les 78 000 francs nécessaires à sa construction, valide définitivement, le 1er août 1924, son emplacement dans le seul cimetière alors existant.
Ce monument aux morts est inauguré le 11 novembre 1925 par Lazare Goujon. Cette journée ne devait pas être « un moment de fête mais de tristesse ». Les familles des militaires défunts ouvraient le cortège. Le chanoine Boursier, ancien combattant de Verdun et futur résistant exécuté le 20 août 1944, avait célébré le même jour à 8 heures une messe en leur mémoire.
Ce cimetière ancien de Villeurbanne est également riche en symboles funéraires : les mains jointes ou « foi », symboles de la fidélité entre époux au-delà de la mort, la colonne brisée qui marque la vie trop tôt achevée souvent celle du jeune soldat mort au front. Unique est le caveau de style « art nouveau »  d'une famille de soyeux, les Guercin : la navette du père, Honoré Guercin, le fabricant d'étoffes se mêle au compas du fils, l'architecte Narcisse Guercin et à la roue dentée du beau-frère, le mécanicien Raoul Dautry.
L'une des tombes les plus populaires est celle de François Rouvière qui présida la commission chargée par le maire Julien Roustan de trouver un terrain pour y ouvrir ce cimetière. Ce monument a l'allure d'une grotte. Aucune référence religieuse à la grotte de Lourdes concernant cette tombe qui ne porte aucune croix, le monument érigé se rapproche des rocailles qui ornaient parcs et jardins.

Le cimetière nouveau

En 1894, un terrain est acheté à Jean Cailloud pour agrandir le cimetière. Aux lendemains de la première guerre mondiale, il se révèle d'une capacité d'accueil insuffisante. L'épidémie grippale de 1917 a généré un nombre élevé de décès. La guerre a apporté son contingent dans l'occupation du cimetière. Des soldats qui n'étaient pas villeurbannais sont décédés dans les hôpitaux de la commune et y ont été inhumés. Les corps des militaires tombés au front ont été rapatriés et enterrés dans ce cimetière. La présence de la Société des Forces motrices du Rhône, aujourd'hui l'usine hydroélectrique de Cusset, en limite l'extension.
Le conseil municipal de Villeurbanne constate alors, dès le 14 février 1920, que « force est de trouver un nouveau cimetière ». Il se met en quête en 1922 « d'un terrain de 8 ou 9 hectares sur la route de Crémieu et près du cimetière actuel ». Deux décrets présidentiels le reconnaissent d'utilité publique : le 3 juillet 1922 et le 20 octobre 1923. Une délibération du conseil municipal rappelle le 18 mai 1928 « qu'il est de toute nécessité qu'il fonctionne dans le plus bref délai », et c'est le 19 août 1929, sous la mandature de Lazare Goujon, qu'il fixe la date de l'ouverture du nouveau cimetière de Villeurbanne au 1er septembre 1929.
On retrouve aussi dans ce « cimetière nouveau de Cusset » des maires de Villeurbanne : Lazare Goujon, Etienne Gagnaire, Georges Lévy, Jules Grandclément. Ce dernier est inhumé avec Suzanne Larché-Grandclément, qui avait été élue en 1935 « conseillère privée ». Elle était l'une des quatre femmes, élues au scrutin de liste, qui avaient un rôle consultatif en matière d'affaires sociales communales à une époque où les femmes n'étaient ni électrices ni éligibles. Sa liste, d'obédience communiste, l'avait emporté sur celle conduite par Marcelle Lafont, chimiste, pilote d’avion brevetée, chauffeur de poids lourds et fille de l'industriel Adolphe Lafont.
Les défunts de communautés venues du monde entier coexistent dans ce cimetière. On croise au fil des allées les tombes des Italiens sur lesquelles on retrouve les photos des disparus et une pieta, des Espagnols castillans ou catalans, des Arméniens avec la traditionnelle croix arménienne « le Khatchkar » aux allures d'arbre de vie, sans omettre la tombe tsigane de François Reinhardt qui arbore une roulotte, un feu de camp et un hérisson.
On note également la présence d'un carré juif et d'un carré musulman. Si, depuis 1881, toute personne peut se faire enterrer dans n'importe quelle partie du cimetière, quelle que soit sa pratique religieuse ou son absence de croyance, les circulaires ministérielles du 28 novembre 1975 et du 14 février 1991 tolèrent « les regroupements de fait » par appartenance confessionnelle, suite aux demandes émises par les représentants des communautés juives et musulmanes et afin de respecter les traditions d'orientation spatiale des tombes respectivement vers Jérusalem et vers La Mecque.
 Le carré musulman et le carré juif du cimetière nouveau de Villeurbanne sont inaugurés respectivement le 2 et le 11 mars 1979 par Charles Hernu, dans un souci de reconnaissance des communautés vivant à Villeurbanne, « pour qu'elles s'y épanouissent davantage et y prennent racine ».

Les deux cimetières de Villeurbanne s'étendent aujourd'hui sur une superficie totale de 22 hectares et abritent 24 000 sépultures. Une stèle à la mémoire de ceux qui ont donné leur corps à la science a été inaugurée le 13 octobre 1987 dans le nouveau cimetière de Cusset.


Bibliographie

Bâtir la dernière demeure, ouvrage collectif sous la direction de Patrimoine Rhônalpin.


Patrimoine funéraire en Rhône-Alpes, Les guides du Patrimoine Rhônalpin, n° 42, Lyon, 2008.


Bertin (Dominique), Guide de Lyon et de ses cimetières, Découvrir  la ville autrement, Lyon, Éditions lyonnaises d'art et d'histoire, 2013.


Buisine (Alexandre), « Cimetière : à Toussaint tout honneur » , Les Potins d'Angèle, 31 octobre-6 novembre 2012, p. 6-7.


« Consécration du cimetière juif de Cusset », Le Progrès, 12 mars 1979


Patrimoine Rhônalpin (dir.), Construire le cimetière de demain, Bourg en Bresse, Patrimoine Rhônalpin, 2010.


Hours (Henry), Lavigne-Louis (Maryannick), Valette d'Obia (Marie-Madeleine), Le Cimetière de Loyasse, Conseil général du Rhône, Lyon, 1996.


Savay-Guerraz (Hugues), « Villeurbanne », dans Grande encyclopédie de Lyon et des communes du Rhône, sous la direction d'André Pelletier, tome 2, p. 417-432, Roanne, 1981.


Sources

Archives municipales de Villeurbanne

1D 260 à 1D 307
Registres des délibérations du Conseil municipal de Villeurbanne de 1790 à 1979
2D 1
Registre des correspondances du maire du 15 Février 1826 au 24 Janvier 1829
1M130
Monument aux morts de la guerre: base (architecte L. Lambert fils) (6 février 1925) 
Plan de situation du Monument au Morts dans l'ancien cimetière de Cusset
Contrat d’exécution passé entre le Comité Villeurbannais pour le Monument aux Morts (28 février 1925)
Photographie de la maquette de la sculpture annexée au contrat
1M 131
Cimetières 1842-1978
1N 24-26
Répertoire numéroté des concessions 1844-1921
266W 1
Concessions et cimetières

Archives départementales du Rhône

3E 34 287 Vente Brosse à la commune de Villeurbanne du 27/05/1827
Minutes de Maitre Guillard, notaire à Villeurbanne
N° 169
6MP/1/759, 774, 777, 779, 787, 795, 804
Tableaux récapitulatifs du dénombrement de la population entre 1861 et 1896
O1912
Vente du presbytère de Cusset par les sieurs Garnier, Gayet et Meunier cultivateurs propriétaires à la commune de Villeurbanne,19 mars 1922
Rapport du maire Monavon au préfet de l'Isère sur la situation de la commune
O 1914
Acquisition par la commune de l'ancien presbytère et de ses dépendances 1820-1822
Acquisition de terrain au sieur Brosse au mas de Cyprian pour en faire un cimetière 1826-1827
Plan du projet Cimetière du maire Monavon
O 1915
Ancien cimetière de Cusset: mise en culture 1872-1873
O 1916
Plan Presbytère de la paroisse de Saint Julien de Cusset localisant le cimetière ouvert en 1832 « Terrain communal ancien cimetière »
O 1917
Plan localisant le premier cimetière ancien de Cusset existant en 1826
O 3280
Création d'un nouveau cimetière route de Cusset
Plan d'ensemble, 12 mars 1922
O 1916
Translation du cimetière au mas des Tasses, 1859-1865
O 1917
Plan géométral de l'église avec, en cartouche, l'église et le presbytère,1828


1 commentaire

  • Sylou, 6 novembre 2021 à 16h37Répondre
    Mon grand père est enterré au nouveau cimetière et il est décédé en 1925. Le cimetière dites vous a ouvert en 1929, comment se fait il qu il y est 4 ans de différence ?

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