Pour un centre-ville attractif
Cet article de 1988 souligne la difficulté de maintenir le commerce dans le centre-ville qui est «déchiré entre l’activité des grandes surfaces de périphérie et celle de la presqu’île ». En 1973, une étude montre que plus de la moitié des achats (alimentaires et non alimentaires) des Villeurbannais est réalisée à Lyon et dans le reste de la Communauté urbaine, contre 35% à Villeurbanne. En 2017, ce chiffre est remonté à 39%. Une attractivité dans laquelle les commerces alimentaires des Gratte-Ciel jouent le rôle de locomotive.